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Avant votre rendez-vous, quelques mots sur les questions fréquentes :
TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE ET PATHOLOGIES DIGESTIVES
I TROUBLES DU COMPORTEMENTS ALIMENTAIRE
Souffrir d’un trouble du comportement alimentaire (TCA), ce n’est pas seulement se priver après un gros repas ou bien grignoter lorsque l’on est stressé, que l’on s’ennuie, que l’on est triste. Les TCA sont de véritables maladies qui s’expriment de manières différentes, s’associant parfois entre elles. Elles peuvent entraîner de graves répercussions sur la santé physique et mentale. Les trois principaux :
• L’anorexie se traduit par une obsession de maigrir à tout prix et toujours plus. Les restrictions sont permanentes et il existe une déformation de la perception de son corps (dysmorphophobie) qui donne l’impression d’être gros même lorsque l’on est maigre. Souvent, la personne atteinte ne se sent pas malade alors qu’elle se met en danger.
• La boulimie se traduit par la répétition de crises incontrôlables où la personne se jette sur la nourriture en grande quantité. Ces crises son suivies d’une grande culpabilité et d’une tentative de contrôler son poids par différents moyens, que ce soit par des vomissements, des laxatifs ou une activité physique en excès. Le poids est souvent normal.
• L’hyperphagie se traduit par des crises de boulimie alimentaire sans les techniques de contrôle du poids. Elles entrainent une prise de poids souvent mal vécue et néfaste pour la santé.
Attention, Il existe des formes atypiques moins médiatiques et tout aussi dangereuses
Quels signes doivent alerter ?
Un trouble du comportement alimentaire n’est pas facile à reconnaître. Il démarre très souvent par un régime anodin, souvent encouragé par l’entourage qui y voit une démarche de santé. Progressivement, pourtant, une volonté obsessive de rester mince s’installe et les restrictions alimentaires se font de plus en plus importantes. Le comportement est en général caché mais certains signes peuvent être révélateurs :
Dans le cas de l’anorexie, il faut s’inquiéter devant :
• Une perte de poids excessive
• Une pratique sportive importante
• Un évitement des repas avec les autres
• Le rejet systématique de certains aliments
• Le contrôle du poids des aliments
• Un isolement et un repli sur soi
• Une déformation de l’image corporelle : « je suis moche, gros(se)… »
Pour la boulimie et l’hyperphagie :
• Des variations de poids importantes
• Un engouement pour les aliments salés, sucrés ou caloriques
• Des marques sur les mains qui témoignent des vomissements à répétition
• Une précipitation aux toilettes après les repas
• Des propos constants sur l’apparence physique
• Une anxiété et des changements d’humeur
• Une dévalorisation de soi
• Un repli et un isolement.
Quelles répercussions sur la santé ?
Les conséquences sur la santé s’aggravent à mesure que la maladie progresse.
Dans le cas de l’anorexie, la restriction provoque :
• Une maigreur extreme
• Des carences
• Une fonte musculaire
• Un arrêt du cycle menstruel
• Une baisse de la tension artérielle avec des malaises possibles
• Une perturbation du rythme cardiaque
• Un coma ou même le décès dans les cas les plus graves.
Dans le cas de la boulimie ou de l’hyperphagie, en fonction des aliments et des techniques utilisées pour perdre du poids, les conséquences peuvent être diverses :
• Une prise de poids excessive et même une obésité
• Des problèmes dentaires à cause des vomissements répétés
• Un gonflement des glandes salivaires
• Des troubles digestifs
• Des problèmes cardiaques ou rénaux.
Que faire si vous soupçonnez un proche de souffrir de troubles du comportement alimentaire,
• Soyez patient, guérir d’un TCA prend du temps
• Essayez de comprendre la souffrance derrière la maladie sans juger
• N’essayez pas de raisonner votre proche car il souffre de toute façon d’une distorsion de la réalité
• Encouragez-le à consulter un médecin ou une diététicienne ou un psychologue rapidement.
Se sortir d’un trouble du comportement alimentaire nécessite une prise en charge spécialisée qui ne se limite pas seulement à l’alimentation mais aussi à un travail de confiance en soi.
II PATHOLOGIES DIGESTIVES
Acidité
Au cours de la digestion, les aliments que nous ingérons sont réduits en résidus alimentaires; ceux-ci seront soit acides soit alcalins.
Le corps a besoin des deux types d’aliments. L’équilibre acide/base est essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Ainsi, une acidification place les cellules en situation de « défaillance énergétique » Elles vivent « au ralenti » entrainant : fatigue, douleurs musculaires/articulaires, fragilisation et mauvais fonctionnement de l’organisme .
Allergies et Intolérances : Leur prévalence augmenté ces 25 dernières années ; elles peuvent se manifester par un asthme, un urticaire, un eczéma, des douleurs digestives… Il est impératif devant ces symptômes de réaliser un bilan allergologique. Les allergies ne sont pas toutes définitives.
Elles sont provoquées presque exclusivement par une protéine qui entraine une chaine de réactions immunitaires par l’intermédiaire d’anticorps ( IgE ) avec des conséquences cliniques parfois graves.
L’intolérance alimentaire est elle liée à une insuffisance en enzyme digestive
Les pseudo-allergies : Nécessitent l’ingestion d’une quantité importante d’aliments riches en histamine ou histamino-libérateurs
90% des allergies alimentaires sont liées à 8 catégories d’aliments : lait, œufs, arachide, fruits à coque, blé, poisson, crustacés, soja… mais aussi à certains produits phytosanitaires comme les sulfites (E 220 à E 227) ; à certains colorants de synthèse (E 102 ; E 110 ; E 124 ; E 127 ; E 131)
Anémies
L’anémie correspond à une baisse du taux d’hémoglobine dans le sang qui se traduit souvent par une baisse du nombre des globules rouges et une carence en un ou plusieurs facteurs entrant dans la synthèse de l’hémoglobine : fer, vitamine B12, B9, cuivre, zinc.
Un régime végétarien, des hémorragies abondantes ou répétées (règles), une grossesse sont des causes fréquentes d’anémie.
Les principaux symptômes sont : fatigue, pâleur, palpitations, diminution des performances intellectuelles, affaiblissement du système immunitaire.
Candidoses
Il existe 2 types d’intolérance aux levures : l’une est d’origine alimentaire, l’autre est une infection plus connue sous le nom de « candidose ». Dans les deux cas, les symptômes sont similaires. Ces levures sont des « résidents habituels » du tube digestif et de la flore vaginale. Tant que notre système de défense immunitaire fonctionne correctement ils ne provoquent aucun trouble mais s’ils se développent de façon excessive, ils sont à l’origine d’une myriade de symptômes très gênants, parfois aussi d’une prise de poids. Un régime approprié permet de rétablir la situation. En cas de candidoses à répétition, il est important de vérifier la glycémie.
Cellulite
voir site bilingue francais-anglais : www.cellulite-treatment.co.uk
Il ne faut pas confondre surpoids et cellulite (Même très minces, hommes et femmes peuvent présenter des zones de cellulite). Elle associe une hypertrophie des cellules graisseuses (adipose), un oedème(rétention d’eau locale), une fibrose des zones touchées.
S’il n’existe pas de recette miracle, quelques règles d’hygiène alimentaire peuvent réduire le volume graisseux global ainsi que les facteurs aggravants de la cellulite. Le Brazilian Lift (procédé d’affinement de la silhouette et de déstockage des graisses non-invasif) agit sur les différents types de cellulite
– La cellulite fibreuse installée depuis longtemps et souvent douloureuse
– La cellulite adipeuse liée à une accumulation de masse grasse
– La cellulite aqueuse causée par une mauvaise circulation sanguine et veineuse
– La cellulite mixte qui correspond à un concentré de cellules aqueuses et adipeuses
Le Brazilian Lift (www.cellulite-treatment.co.uk) utilise le laser, les infra-rouges, les ultrasons, la radiofréquence, le vacuum. L’efficacité du traitement repose sur la combinaison simultanée de ces techniques.
Détox :
Pas un problème de poids mais un encombrement excessif (gras, alcool, sel, déchets métaboliques, eau …) généralement après des écarts festifs. Une alimentation trop riche entraine un surplus de travail pour les organes de la digestion et de l’élimination : foie, intestins, reins … la fatigue générale est liée au travail supplémentaire pour éliminer les « polluants ». De plus, le corps est fragilisé (+ grande sensibilité aux infections, maux de tête, digestion ralentie + difficile, ballonnements, lourdeur, constipation, nausées parfois, rétention d’eau (bajoues, poches sous les yeux, cellulite), prise de poids (le corps stocke les excès), peau terne, boutons, plaques rouges, tour de taille « rebondi » …
Le but d’un régime détox n’est pas de maigrir mais de retrouver bien être et vitalité, d’éliminer toxines, déchets …
2 axes d’action :
1- Soulager le travail des organes « détoxifiants »
2- Drainer / éliminer les déchets métabolliques accumulés
Inconfort Digestif
Douleurs abdominales, gaz, diarrhées, vomissements, parfois constipation peuvent avoir des causes multiples : taux d’acide dans l’estomac, manque d’enzymes digestives, infection bactérienne ou parasitaire, intolérance alimentaire, stress, IBS …
Parmi les facteurs favorisants : une mauvaise hygiène de vie (repas pris sur le pouce, mal structurés, consommés dans le bruit, à des heures différentes) ; une alimentation déséquilibrée … Il est alors essentiel d’adopter une alimentation équilibrée mais sans source possible d’inconfort digestif.
Un « écart festif » peut vite conduire à un encombrement excessif du système digestif (gras, alcool, sel, déchets métaboliques …). Une alimentation trop riche entraine un surplus de travail pour les organes de la digestion (foie, intestins, reins) et par conséquent, une fatigue générale car l’organisme dépense plus d’énergie pour éliminer ces « polluants ». Le corps est alors fragilisé, plus sensible aux infections, aux maux de tête et à une multitude de symptômes désagréables : nausées, ballonnements, constipation, lourdeur, prise de poids, rétention d’eau, peau terne, boutons, plaques rouges …
Pour retrouver bien-être et vitalité (après les fêtes, après une période de stress, en cas de chimiothérapie) ou en prévention (avant une anesthésie), il est important de
– Soulager le travail des organes détoxifiants
– Drainer les déchets métaboliques accumulés
Diversification alimentaire du bébé
A 6 mois (parfois dés 5 mois et demi) : l’alimentation lactée exclusive ne suffit plus à couvrir les besoins d’un bébé à elle seule mais le système digestif de l’enfant n’est pas encore complètement mature ; il faut lui laisser le temps de s’habituer à de nouveaux aliments en les introduisant un par un pour qu’il se familiarise avec la texture et le goût. Cette phase de transition permet à l’enfant de mettre en mémoire un véritable catalogue de saveurs ; l’éducation nutritionnelle de bébé commence ! Il faut parfois du temps pour s’habituer à la nouveauté. Ne forcez pas votre bébé ! Proposez lui quelques jours plus tard l’aliment qu’il a refusé auparavant. Respectez ses goûts et ses préférences
Equilibre Alimentaire
Bien se nourrir est un plaisir et c’est aussi le fondement d’une bonne santé. Les besoins nutritionnels de chacun varient selon le sexe, l’âge, la corpulence, le niveau d’activité physique, l’existence éventuelle d’un problème de santé. Mais malgré cette variété, les règles de base de l’équilibre alimentaire sont les mêmes pour tous.
Deux grands principes : varier et diversifier les repas car aucun aliment ne contient l’ensemble des nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.
La ration quotidienne doit couvrir en quantité, en qualité et au bon moment l’ensemble des besoins de l’organisme sans les dépasser. Il est aussi essentiel de respecter des rythmes réguliers afin d’assurer une bonne répartition de l’énergie au cours de la journée et ainsi limiter grignotage et risque de prise de poids excessive.
Gluten
«Gluten « vient du latin = colle ; c’est l’élément qui donne l’élasticité à une pâte. Sa toxicité provient de la gliadine -protéine constituante du gluten des céréales (blé, avoine, seigle, orge). En cas d’hypersensibilité au gluten, une réaction immunitaire anormale se déclenche et va progressivement endommager la muqueuse intestinale. L’inflammation du tube digestif peut gêner l’absorption des nutriments, conduire à des carences en calories, protéines, vitamines et minéraux et entrainer diarrhées, fatigue, amaigrissement, ralentissement de la croissance, anémie.
Il faut donc :
– éliminer de l’alimentation, à plus ou moins long terme, les produits qui contiennent du gluten ;
– compenser les pertes en nutriments causées par la maladie et/ou le régime sans gluten
Goutte
L’hyper-uricémie correspond à un excès d’acide urique* dans le sang qui peut passer inaperçu ou se manifester par des accès inflammatoires articulaires très douloureux : la crise de « goutte ». Les médicaments sont très efficaces pour calmer les symptômes ; un traitement diététique de fond permet de diminuer le risque de crises.
Grossesse
Pendant la grossesse, le corps subit de nombreuses transformations qui se traduisent par :
• une légère augmentation des besoins nutritionnels ; mais comme les mécanismes d’absorption des nutriments sont majorés, il ne faut pas manger 2 fois plus mais 2 fois mieux !
• une prise de poids (de 11kg en moyenne) qu’il serait dangereux de chercher à éviter car un régime restrictif pourrait provoquer des carences graves pour la mère et l’enfant.
Une alimentation variée et équilibrée est essentielle au déroulement harmonieux de la grossesse et au développement du fœtus.
Trois grands principes pour votre alimentation :
– Variété, pour couvrir l’ensemble des besoins en nutriments, vitamines, minéraux pour la future mère et le bébé ;
– Digestion facile, en limitant les préparations les plus grasses (fritures, charcuteries, sauces, pâtes feuilletés…), les aliments à goût fort (certains poissons, certains légumes, épices fortes…) ou générateurs de gaz (légumes secs…) ;
– Hygiène, pour prévenir toutes contaminations bactériennes ou parasitaires et limiter l’exposition aux contaminants chimiques (aliments bien lavés, bien cuits, sans OGM, vérification des dates limites de consommation, pas de tabac)
Inflammation
Provenant du latin inflammatio signifiant « action d’incendier », le terme inflammation est utilisé aujourd’hui pour décrire une réaction localisée en lien avec une irritation, une blessure ou une infection. Les symptômes incluent rougeur, douleur, œdème, chaleur, et dysfonctionnement de l’organe touché … On parle de sinusite, d’arthrite, de tendinite et autres -ites, de la colite à la gingivite. Des maux fréquents car l’inflammation est un mécanisme naturel et vital. C’est une réaction immunitaire qui permet la défense contre les agressions, mais aussi, le processus de réparation. La douleur est un signal d’alarme bénéfique. Les traitements incluent le repos, et souvent, la prise de médicaments.
L’inflammation chronique correspond, à une réponse immunitaire face à une agression qui n’est ni une blessure, ni une infection. Le corps se protège contre les effets néfastes de la sédentarité, de la malnutrition, de la pollution, du stress et du mode de vie moderne.
Le système digestif ne s’est pas complètement adapté à l’alimentation moderne qui, elle, s’est trop rapidement transformée. L’alimentation contemporaine peut être irritante pour la paroi intestinale, et provoquer le passage dans le sang de certaines molécules ne devant pas s’y retrouver. Selon sa prédisposition une maladie inflammatoire peut alors se développer.
Réduire ou arrêter la consommation de certains aliments contribue alors à soulager les symptômes.
Menopause
La ménopause correspond à la fin de la période reproductive chez la femme. Elle survient en moyenne vers l’âge de 50 ans et s’accompagne généralement de symptômes désagréables (bouffées de chaleur, sautes d’humeur, prise de poids…)
Les femmes prennent en moyenne 2 à 2,5kg à la ménopause souvent au niveau abdominal. Cette prise de poids est liée à la diminution du taux d’œstrogènes, des dépenses énergétiques et du métabolisme de base, à une perte de masse musculaire et souvent, à de nouvelles habitudes alimentaires.
L’hormonothérapie a un effet variable sur le poids et la répartition du tissu adipeux. Si certaines femmes sous traitement prennent du poids, d’autres restent stables voire perdent un peu de poids.
L’alimentation met un accent particulier sur le calcium, les protéines et la vitamine D pour vous aider à :
• Prévenir la prise de poids
• Réduire les bouffées de chaleur et les sautes d’humeur
• Eviter la perte de masse osseuse et prévenir l’ostéoporose
• Prévenir les risques de maladies cardiovasculaires et le cancer du sein
• Eviter les carences
Rétention d’eau
La rétention d’eau touche plus de 50% des femmes : chevilles et seins gonflés, jambes lourdes, ventre ballonné… Les causes de ce phénomène peuvent être multiples : mauvaise circulation sanguine, déficit en protéines, accumulation de toxines, carences en vitamines et minéraux essentiels, dérèglement hormonal (règles, grossesse, ménopause), parfois pathologies rénales, cardiaques ou hépatiques. Elle peut provoquer un œdème et donner à la peau un aspect disgracieux. Choisir une alimentation adaptée et adopter un mode de vie plus actif permet de mieux contrôler ce phénomène
Reflux
Le reflux correspond à une remontée anormale et répétée du contenu gastrique dans l’œsophage – surtout la nuit- occasionnant des sensations de brûlures. En plus du traitement prescrit par votre médecin quelques mesures simples peuvent atténuer les symptômes
Thyroide – Hypothyroidie
Petite glande primordiale dés l’enfance pour le développement de la croissance et du système nerveux. A l’âge adulte, elle a le pouvoir d’affecter notre quotidien.
Si elle est hyper active et produit des hormones en excès, elle va accélérer le fonctionnement de tout le corps et déclencher une tempête de symptômes : palpitations, hyperactivité, hypertranspiration, perte de poids sans régime, accélération du transit, hyperthermie, tremblements, irritabilité, perturbation du sommeil, et sensation d’être « sur les nerfs » .
Si au contraire elle fonctionne au ralenti, vous allez prendre du poids (oedème) sans faire d’écart, être constipé, frileux, déprimé, constamment fatigué, perdre vos cheveux, avoir des trous de mémoire, un rythme cardiaque ralenti (bradichardie), un cycle menstruel irrégulier et la peau qui tire … Consulter un endocrinologue est primordial. Souvent, un traitement médicamenteux à base de thyroxine associé à une alimentation riche en iode permet aux patients souffrant d’hypothyroidie de retrouver une vie normale dés que la dose est ajustée.
Végétariens
En France, 5% de la population est végétarienne (7% en Angleterre, 40% en Inde).
Les études montrent que les végétariens sont moins sujets à l‘hypertension, maladies cardiovasculaires, certains cancers. Ceci est en partie lié à leur alimentation plus pauvre en graisses saturées et en cholestérol et plus riche en fibres. Mais comme dans tous les régimes, manger sainement implique variété, équilibre et modération. La ration quotidienne doit couvrir en quantité, en qualité et au bon moment l’ensemble des besoins de l’organisme sans les dépasser pour maintenir une santé optimale et assurer une bonne répartition de l’énergie au cours de la journée.
Exclure la viande et les produits animaux de l’alimentation prive le corps de sources naturelles de fer, d’acides aminés essentiels, calcium, zinc, vitamines B et D, oméga 3. Les végétariens présentent donc un risque accru de carence en ces éléments essentiels ce qui à long terme peut conduire à diverses complications (anémie, ralentissement de la croissance, ostéoporose …)
Les alternatives végétariennes suivantes permettent de compenser ces déficiences alimentaires